Patrimoine culturel spoliéUne tête humaine réduite pourrait être rendue à l’Équateur
Les restitutions de biens de provenance douteuse se multiplient à Genève grâce à la plateforme mise en place par le Centre du droit de l’art de l’UNIGE.

Tête humaine réduite de l’ethnie shuar d’Amazonie.
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Il y a moins d’un an, le Centre du droit de l’art de l’Université de Genève installait une plateforme de diplomatie du patrimoine culturel, encourageant les détenteurs d’œuvres d’art d’origine illégitime à les déclarer au grand jour en vue de leur restitution. Ce buste antique sur le piano? Même s’il a été acheté de façon acceptable pour l’époque par un aïeul amoureux de la Grèce, peut-être aurait-il davantage sa place dans un musée…