Seule en scèneUne Genevoise perpétue l’esprit du music-hall
Florence Reymond s’inspire partiellement de son existence dans «French, love & whiskey», à découvrir au P’tit Music Hohl.
Florence Reymond sur la scène du P’tit Music Hohl en 2002.
MARC BOSSERT
Sur scène, elle fantasme sur un appel téléphonique que pourrait lui passer Steven Spielberg. Dans la foulée, elle s’imagine à Broadway, en star de la comédie musicale, entourée de beaux danseurs. Florence Reymond serait-elle une grande rêveuse? Pas forcément, car s’il est peu probable qu’un gros bonnet du cinéma américain se manifeste au bout du fil, la comédienne et chanteuse genevoise a déjà expérimenté l’effet produit par de jeunes éphèbes chaloupant à ses côtés sur les planches. Bon, c’était à Montreux, au Casino Barrière, mais dans un réel esprit de revue de music-hall.
