«Uber interdit à Genève?» C'est faux
Le Conseil d'Etat a bien donné son feu vert à Uber, pour autant que ses chauffeurs possèdent les bons examens et la bonne immatriculation.

«Je viens d'apprendre qu'Uber est interdit à Genève! Ce matin, j'ai commandé une voiture et c'est la police qui est arrivée en même temps que le chauffeur (…)» Un Genevois mercredi sur Facebook
C'est faux. Le Conseil d'Etat a bien donné son feu vert à Uber, pour autant que ses chauffeurs roulent avec une immatriculation débutant par GE 96 et possèdent les bons examens. Dans le cas présent, le véhicule commandé par cet utilisateur devait probablement avoir des plaques vaudoises. D'où l'intervention de la police. «Genève considère les chauffeurs Uber immatriculés ailleurs comme illégaux, or il se trompe, déclare Vincent Maitre, avocat des chauffeurs Uber. Le droit suisse autorise à travailler dans n'importe quel canton même avec des plaques exogènes. Nous faisons systématiquement recours lors de verbalisations.»
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