Votation du 9 juinDurcir l'asile? Une «hystérie permanente»
Les mesures urgentes dans le droit d'asile sont inutiles et dangereuses, dénoncent les milieux qui ont lancé le référendum.

Abandon de la possibilité de déposer des demandes dans les ambassades, suppression de la désertion comme motif d'asile, diminution des délais de recours, centres censés recueillir les requérants récalcitrants: toutes ces mesures contenues dans la révision de loi urgente en vigueur depuis septembre sont critiquées avec véhémence.
Soutien de l'Eglise
Les organisations combattant ce durcissement du droit d'asile se félicitent du soutien des milieux proches des Eglises et surtout des femmes PDC. Pour eux, la révision de loi en votation le 9 juin relève de l'hystérie permanente et de la méfiance systématique envers les réfugiés.
Mauvaise tactique?
Le reproche selon lequel il était tactiquement faux d'organiser une votation populaire sur ce volet alors que d'autres révisions du droit d'asile vont suivre est rejeté par le comité. «La pire des tactiques est de ne pas s'opposer», a souligné le vice-président des Verts Josef Lang.
Cet article a été automatiquement importé de notre ancien système de gestion de contenu vers notre nouveau site web. Il est possible qu'il comporte quelques erreurs de mise en page. Veuillez-nous signaler toute erreur à community-feedback@tamedia.ch. Nous vous remercions de votre compréhension et votre collaboration.