Compétition électrique et innovationSébastien Buemi: «La Formule E apporte beaucoup à la recherche»
Le pilote vaudois explique en quoi la compétition de Formule E participe à améliorer la voiture de M. et Mme Tout-le-monde.

Nissan pour une écurie dont il n’a pas encore révélé le nom.
Pilote d’essai en F1 pour le compte de Red Bull, engagé en endurance et d’ailleurs vainqueur cette année pour la 4e fois de la mythique course des 24 Heures du Mans, actif depuis 2014 en Formule E (FE), le championnat de monoplaces électriques: à bientôt 34 ans, Sébastien Buemi n’a rien perdu de son amour pour le sport automobile, passant d’une compétition à l’autre. Alors qu’il vient d’annoncer qu’il quittera Nissan pour une autre écurie, un secret encore gardé, pour la saison 2022-2023 de Formule E – dans laquelle est également engagé le Genevois vice-champion en titre 2021-2022 Edoardo Mortara –, le pilote vaudois explique comment cette compétition (une fois champion, deux fois vice-champion) permet de développer la technologie des modèles électriques.