Sans nous, les singes du Zoo de Bâle ne s'amusent plus
Coronavirus oblige, le jardin zoologique bâlois reste désespérément vide. Un calme inhabituel qui oblige les soignants, munis de masques et de gants, à trouver une parade pour les stimuler.
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«Bagus», l'orang-outang cherche à s'occuper. Pour les stimuler, les gardiens leur servent dix à douze repas quotidiens au lieu de six habituellement.
Zoo de Bâle/Torben Weber
Des flots de visiteurs, puis rien. La crise du Covid-19 touche aussi de plein fouet les jardins zoologiques du pays, fermés par mesure de précaution contre la propagation du coronavirus. On serait tenté de penser que les pensionnaires se délectent du calme inhabituel qui règne devant leurs enclos.
