Attentats de BruxellesPour Parmelin, d'autres attaques sont prévisibles
Le conseiller fédéral estime que, même si le groupe EI disparaissait, on n'en aurait pas fini avec les actes de terrorisme djihadiste.

Selon le ministre de la défense Guy Parmelin, qui se base sur des estimations de services de renseignement, «le terrorisme djihadiste, est malheureusement un fait qui va nous occuper à long terme» et d'autres attentats comme ceux de Paris ou de Bruxelles sont vraisemblables.
Ce phénomène ne va pas disparaître automatiquement avec la fin du groupe terroriste Etat islamique (EI), dont le déclin n'est d'ailleurs pas prévisible, a-t-il déclaré dans un entretien publié dans l'édition en ligne du «Blick». Le Vaudois ne pense pas pour autant que la terreur deviendra «quotidienne», au premier sens du terme.
Mais la Suisse a un rôle à jouer: la fréquence de ces attaques «dépend aussi de nos mesures pour combattre le terrorisme», a souligné le conseiller fédéral UDC. A plusieurs reprises, les services de renseignement et la police ont empêché que des attentats se produisent en Europe.
Malgré leur travail, on ne parviendra pas à déjouer tous les projets. Raison pour laquelle, la réponse ne doit pas être uniquement préventive et répressive, mais passe par la prévention des crises, estime-t-il.
ats
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