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Pour Mauro Lorenzi, chef du Service Voirie et Marie Barbey-Chappuis, conseillère administrative en Ville de Genève, les nouveaux défis, liés notamment à la pandémie, doivent pousser à une réflexion sur la propreté.
LUCIEN FORTUNATI
Plus de 80% des Genevois estiment que leur ville est propre. Tel est le résultat d’un sondage mené par le Département de la sécurité et des sports (DSSP) auprès de 600 habitants. Pas question toutefois pour Marie Barbey-Chappuis, la magistrate chargée du DSSP, de se reposer sur ses lauriers. Avec le service de la Voirie de la Ville, elle nous présente en primeur le nouveau plan propreté 2022-2025.
Pour réfléchir au meilleur moyen d’améliorer la propreté, le DSSP a tenté une «démarche participative inédite et originale», selon la conseillère administrative. Outre le sondage, des marches exploratoires avec les associations de quartiers ont été organisées notamment aux Acacias, aux Pâquis, aux Charmilles ou encore à Champel. «Nous voulions avoir le ressenti des personnes qui connaissent bien leur ville et leur quartier. C’est de là que sont ressortis les cinq axes d’action de ce plan», souligne Marie Barbey-Chappuis.