Paris vaut bien une catharsis
Sur les réseaux sociaux, l'internaute s'informe, partage, enrage, se console et surtout… il rit!
Depuis vendredi, les réseaux sociaux ont joué un rôle prépondérant dans la couverture des attentats qui ont fait vaciller la Ville Lumière. Facebook s'est avéré plus efficace qu'un coup de téléphone pour rassurer ses proches, Twitter apparaît plus rapide que les médias traditionnels pour donner l'alerte et diffuser les derniers éléments d'information connus. Et, cerise sur le gâteau médiatique, c'est désormais ici, confortablement lovée dans ce monde virtuel, que la population vient panser ses plaies bien réelles.