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Il n’y a pas qu’en Chine que les autorités luttent contre la propagation des sous-variants d’Omicron.
Photo: VCG via Getty Images
«Nous en avons tous assez de ce virus, mais le virus n’en a probablement pas encore assez de nous», a récemment écrit l’expert du Covid sud-africain Tulio de Oliveira sur Twitter. La raison de son commentaire: les deux nouveaux sous-variants d’Omicron, BA.4 et BA.5, font à nouveau augmenter le nombre de cas en Afrique du Sud. Le bio-informaticien a fait partie de l’équipe qui a identifié pour la première fois le variant Omicron, fin novembre 2021.
Vendredi, un preprint (version d’un article scientifique n’ayant pas encore été accepté par le comité de rédaction d’une revue scientifique) a été publié sur les deux sous-variants identifiés en Afrique du Sud. La conclusion des auteurs, dirigés par le virologue Alex Sigal, est la suivante: «BA.4 et BA.5 ont le potentiel de déclencher une nouvelle vague d’infection.» L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a ajouté ces deux sous-variants à la liste des variants préoccupants (VoC). Aux États-Unis également, il existe un nouveau sous-variant, BA.2.12.1, qui, selon les premières estimations, est encore environ 25% plus contagieux que BA.2.