Les migrants du Sleep-In prêts à retourner à la rue
Le campement de Renens a jusqu'à la fin du mois pour disparaître. Ses occupants se montrent résignés.

Le campement du Sleep-In obtient un sursis, mais il est de courte durée. Après avoir fixé un ultimatum à la fin de cette semaine, la Ville de Lausanne donne jusqu'au 30 août à ses occupants pour se disperser. Un délai posé lundi soir lors d'une rencontre entre l'association qui gère le Sleep-In et les municipaux Oscar Tosato, de Lausanne, et Didier Divorne, de Renens.