Il y a encore quelques jours de cela, l’enseigne célèbre de la rue Rousseau affichait avec tristesse sa décoration de Noël. L’adresse de la liquidation qui ne veut pas dire son nom.
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Une arcade comme on en rêve, nichée au rez-de-chaussée d’un bâtiment ancien de la rue Rousseau; un pas-de-porte commercial connu loin à la ronde, au cœur d’un quartier très animé. Tout le reste, ici, est à pleurer. La vitrine la plus triste du printemps, assurément. Elle voisine un bivouac de SDF, donnant sur le même trottoir.
Encre bleue – Les invendus de l’hiver
À la rue Rousseau, des peluches de chiens et chats sont en attente d’adoption. Triste spectacle.