Votations du 27 septembreLes Genevois disent un gros oui au salaire minimum
Effet indirect de la crise sanitaire? Un gros oui est sorti des urnes pour améliorer le sort des travailleurs les plus précaires.

C’est la troisième fois que les Genevois se prononcent sur un salaire minimum. Les deux premières propositions (l’une fédérale, l’autre cantonale) avaient essuyé un refus.
Martial Trezzini/Keystone