Les candidats au nom exotique risquent plus de coups de crayon
Une étude zurichoise démontre que les candidats au nom exotique sont davantage biffés et moins souvent rajoutés.

En 2014, Ali Benouari, ancien ministre algérien du Trésor, tentera de conquérir la présidence en Algérie. En 2009, candidat au Grand Conseil aux côtés des radicaux, il s'est classé en queue de peloton. Selon une étude zurichoise, un candidat au nom exotique risque de capter trois fois moins de suffrages sur les listes modifiées qu'un candidat dont le nom sonne «suisse».