Transition numériqueL’école genevoise peine à trouver des remplaçants
Faute d’outils modernes, attendus depuis sept ans, le service dédié n’arrive pas à répondre à la demande.

Entre les épidémies hivernales et l’ouverture de classes d’accueil pour des élèves ukrainiens, les remplaçants dans l’enseignement sont très recherchés. Or, le constat d’échec du service des remplacements, particulièrement au niveau de l’enseignement primaire, semble unanimement partagé. Enseignants, étudiants en formation, députés. Le Département de l’instruction publique (DIP) lui-même se dit «conscient de la nécessité d’améliorer et de moderniser la gestion annuelle de ses 3900 remplaçants».