«L'éclaireur en démocratie n'est pas forcément celui qu'on croit»
Des étudiants genevois et tunisiens ont échangé sur l'état respectif de leur démocratie. Rafraîchissant.

A g., Waël et Youssef ont croisé le fer avec Ema (cinquième à dr.).
Steeve Iuncker-Gomez
«Ce qui me frappe, c'est à quel point on prend notre démocratie pour un acquis, comme quelque chose de normal, presque au sens d'ennuyeux.» Cette réflexion de la chancelière d'Etat Anja Wyden Guelpa l'a conduite à inviter des étudiants d'une démocratie plus jeune, la Tunisie, pour échanger ce lundi soir avec leurs homologues genevois, sur le mode de la curiosité bienveillante, pour la semaine de la démocratie.