Épidémie en SuisseLe quotidien de ceux qui luttent contre la variole du singe
La maladie continue de s’étendre. Comment les médecins gèrent-ils cette situation? Reportage à Genève.
Aux HUG, Alex Kodiyan ausculte au quotidien des patients chez qui on suspecte la variole du singe. Il doit pour cela revêtir un équipement de protection.
VALENTIN FLAURAUD
Il y a peu, le terme était inconnu. Un premier cas de variole du singe, ou monkeypox, a été confirmé le 21 mai en Suisse. Depuis, le virus se répand dans le monde et l’OMS a déclaré hier le plus haut niveau d’alerte de l’organisation. Tout cela met les spécialistes sous pression. Comment agissent-ils?
![«Vous ressentez profondément la solitude quand vous êtes au perchoir […]. Vous êtes physiquement seule face à l’hémicycle», se confie Yaël Braun-Pivet.](https://cdn.unitycms.io/images/BxTHbo9nq4u8IaMZbq5PrE.jpg?op=ocroped&val=1200,1200,1000,1000,0,0&sum=P8u0YqxHjBw)
