Amorcé depuis plusieurs mois, le virage n’en est pas moins abrupt. L’été prochain, au moment de la reprise, Alain Geiger ne sera plus sur le terrain à diriger son équipe. Depuis cinq ans, il est l’homme du retour dans l’élite, de deux qualifications européennes et, même si l’on ne sait pas où se situera Servette dans deux mois, il est aujourd’hui installé à la deuxième place du championnat (qui peut ouvrir la porte de la Ligue des champions) et qualifié en demi-finale de la Coupe de Suisse. Respect.
Commentaire – Le pari grenat
Les grandes restructurations appellent des résultats. Le pari, risqué, des dirigeants est là.