Statut des chauffeurs Le modèle proposé en Suisse par Uber peine à convaincre
Un nouveau fonctionnement prévoit la possibilité d’un contrat de salarié. Syndicats et chauffeurs continuent de critiquer les conditions de travail.

Uber s’est lancé en 2015 à Lausanne (photo d’archive).
CELLA FLORIAN/24HEURES
Le statut des chauffeurs Uber fait parler de lui depuis les débuts de l’entreprise américaine, qui a toujours prôné la mise en relation des chauffeurs indépendants avec des passagers, elle-même fournissant uniquement l’application. De nombreuses voix dénoncent depuis des années une position qui ressemblerait davantage à un contrat de salarié - sans les conditions de travail requises par la loi.