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Le CEO de Swiss estime que le boycott du pétrole russe n’aura pas d’impact sur l’approvisionnement de ses avions.
KEYSTONE/Michael Buholzer
Trafic paralysé par une pandémie, guerre aux portes de l’Europe, le tout sur fond d’une injonction – encore hors de portée – à neutraliser les émissions de CO2 des avions. Swiss International Air Lines aurait difficilement pu imaginer pire météo pour fêter son 20e anniversaire, ou plutôt celui de sa renaissance sur les ruines de Swissair.
Les optimistes diront que cela aurait pu aller encore plus mal. Après tout, il y a deux ans, avant l’octroi par ses banques d’une ligne de vie lui ouvrant jusqu’à 1,5 milliard de francs de crédit – débloquée grâce à l’assurance que la Confédération s’en porterait garante –, personne ne pouvait promettre que l’histoire ne se répéterait pas, à vingt ans d’intervalle.