Le consensus sur la mobilité trouve un premier ennemi
Le TCS fustige un accord soutenu par des élus issus d'un large spectre politique.

Alors que la promesse d'une paix des transports éclôt dans un petit cénacle du parlement genevois, la tempête se lève à l'extérieur. Organisation privée incontournable en matière de transports, le TCS accueille avec scepticisme le plan pour fluidifier la mobilité cantonale sur lequel se sont accordés les délégués des sept partis présents au Grand Conseil. Ce plan prévoit entre autres de donner la priorité aux transports publics et à la mobilité douce dans les zones urbaines, sans toutefois bannir les voitures du centre-ville.