L'affaire Parmelin classée par le Parlement
Pour les commissions de gestion, les règles de récusation sont suffisantes. Nouvelle préoccupation, le projet de défense sol-air.

L'éléphant accouche d'une souris. L'affaire de la vigne de Guy Parmelin avait pris une ampleur considérable, elle se termine sur de simples recommandations. Suite aux réponses fournies par le Conseil fédéral, les commissions de gestion du parlement ont estimé hier qu'aucune mesure législative ne s'impose. Elles demandent aux conseillers fédéraux d'être plus vigilants à l'avenir vis-à-vis de leurs intérêts personnels. Les ministres devraient déclarer systématiquement leurs liens avec un objet, afin de pouvoir discuter d'une éventuelle récusation.