Football et économieLa victoire de l’Albiceleste peine à estomper la crise
Pour la FIFA, le Mondial confirme son rôle de «cash machine». En Argentine, elle n’offre qu’un répit à une population durement touchée par le chaos.
Des supporters argentins à Buenos Aires, dimanche, lorsque la France s’est mise à marquer des buts.
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Et à la fin, c’est la FIFA qui gagne. Bien davantage que l’Albiceleste, la machine à recette du Mondial – et la fédération qui la gère – restent les grandes gagnantes de l’édition qui s’est achevée dimanche soir.
