Harcèlement à la RTS«La SSR n’a pas pris la pleine mesure du problème»
Les conclusions des enquêtes indépendantes menées au sein du service public laissent plusieurs élus fédéraux perplexes. Réactions.
Marianne Maret (Centre/VS) siège à la Commission des transports et des télécommunications du Conseil des États. Elle estime que la réponse de la SSR aux accusations de harcèlement est «un peu frileuse».
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«L’affaire n’est pas réglée.» À Berne, Simonetta Sommaruga a été l’une des premières à réagir aux conclusions des enquêtes sur les cas de harcèlement dénoncés au sein de la RTS. «La RTS et la SSR ont un rôle de modèle», a souligné la conseillère fédérale devant les médias. Le harcèlement sexuel n’est pas acceptable. Pas plus que le malaise au sein du personnel ou le manque de confiance dans les services chargés de gérer ces questions. «Cela doit changer très vite.»
