En sortant de l'ascenseur, mardi, la locataire du deuxième étage remarque que des scellés ont été posés sur la porte de son voisin espagnol, Julio. «J'ai pensé qu'il avait été victime d'un cambriolage. Comme ma sœur, qui habite au sixième. Je me suis dit qu'il n'avait pas de chance», raconte-t-elle. La réalité est hélas plus tragique: Julio, 78?ans, n'a pas reçu la visite d'un cambrioleur, mais d'un meurtrier qui l'a égorgé à son domicile de la rue Caroline, aux Acacias.