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«J'écris avec les poings mais pas seulement»

Ingrid Astier, 40 ans, mélange les disciplines et les styles dans une saga foisonnante. «Haute voltige» donnera suite.

Poésie, théâtre, gastronomie… A 40 ans, où vous situer finalement?

D'où vient cette tournure d'esprit?

Mais pourquoi partir d'un polar a priori basique, flics contre truands?

D'où vient l'idée d'associer brutalité et esthétisme chez des voleurs?

Le personnel du quai des Orfèvres a-t-il été facile à apprivoiser?

Et Bilal, avez-vous bossé avec lui?

D'où cette sensualité folle qui jaillit d'une naïade dansant avec les esturgeons, ou de cette séquence dans un cockpit d'hélicoptère?

Jusqu'à la violence gore aussi.

Et vous écrivez des romans fleuves de 500 pages. Paradoxe, ne dites-vous pas qu'un homme peut se résumer en trois ou quatre phrases?

La ténacité se matérialise-t-elle par votre énorme souci de précision?