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«J'avais des dictionnaires plein mes valises»

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Nana Mouskouri, entre les colonnes corinthiennes du Lausanne Palace.
La chanteuse aux 350 millions de disques vendus continue de donner de la voix.
Au début des années 1960, Nana Mouskouri donne des prestations à la limite de l'austérité.

– Vous avez rencontré Dylan en 1979, par l'entremise de Leonard Cohen. Parmi les innombrables rencontres de votre carrière, fut-elle particulièrement marquante?

– Le public francophone vous associe souvent à des collaborations réalisées dans des émissions de variété. Certains duos télévisés vous reviennent à l'esprit?

– Vous faisiez ce métier pour les voyages?

– Quelle rencontre vous a le plus marqué?

– Et avec Elvis?

– Croyez-vous aux bons choix, à la chance ou au destin?

– Mais c'est affreusement macho!?

– Devez-vous votre voix à un don ou à du travail?

– Très vite, votre carrière prend une tournure internationale. Était-ce le résultat d'une stratégie particulière?

– Vous avez toujours eu de la facilité pour les langues?

– Quelle langue est la plus musicale?

– Comment expliquez-vous votre longévité auprès de votre public?

– Y avait-il de grandes différences entre les États-Unis et l'Europe?

– Les artistes s'y déguisaient et se mettaient en scène dans des sketches. Ils jouaient plus facilement le jeu?

– Vous avez vite imposé un look, même un «antilook»: en étiez-vous consciente?

– En 1994, votre non-militantisme politique fut ébréché par votre entrée au Parlement européen…