Non à la réforme de l’impôt anticipé«Il est devenu difficile de convaincre sur la fiscalité»
À huit mois du vote sur une refonte cruciale, le centre droit est fatigué du débat sur les impôts des entreprises, reconnaît le PLR Olivier Feller.

Le conseiller national vaudois (ici au Palais fédéral, en mars dernier) admet à l’issue de l’annonce du maintien de l’impôt anticipé sur les placements obligataires, qu’il est «devenu plus difficile de convaincre des électeurs de centre droit que les réformes en faveur d’une économie prospère, contribuent in fine, au bien commun.»
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Dimanche, le «non» à la suppression de l’impôt anticipé a atteint 52% au niveau national. Le front du refus a été porté par les cantons romands. Dépassant les 53% dans le canton de Vaud et les 58% à Genève, ce «niet» a même atteint 64% dans le Jura.