Violences parentalesFaut-il interdire les gifles et les fessées?
Une commission de sénateurs examine une motion demandant d’inscrire dans la loi le droit à une éducation non violente. Le National a déjà donné son feu vert.

L’État doit-il interférer dans l’éducation parentale des enfants? Cette question est au cœur des discussions ce jeudi au sein de la Commission des affaires juridiques du Conseil des États (CAJ-E). Treize sénateurs vont se pencher sur la motion de la conseillère nationale Christine Bulliard-Marbach (Le Centre/FR), qui demande au gouvernement de faire figurer le droit à une éducation sans violence dans le Code civil. Un texte adopté en septembre dernier par le Conseil national.