Feu de champs à MeyrinFace à la nature qui brûle, les pompiers manquent de moyens adaptés
La collaboration franco-suisse permet d’engager des véhicules conçus pour les feux de végétation de grande ampleur. La question de l’équipement se pose avec la multiplication des sinistres de ce type.

Un véhicule d’intervention du SIS engagé sur le feu de Meyrin, dimanche 10 juillet. Il reste stationné sur la partie en dur et assure l’alimentation en eau. Pierre Albouy
PIERRE ALBOUY
Des images de végétations brûlées, que l’on a l’habitude de voir à la télévision, mais qui désormais nous rattrapent jusque dans nos campagnes. Ces champs qui ressemblent à des terrains de foot repeints en noir étaient l’exception hier encore. Ils sont aujourd’hui sous nos fenêtres.