«Evitons l'expulsion de deux familles syriennes»
Dans un cas, la dame est enceinte de huit mois. Dans l'autre, une jeune fratrie pourrait être séparée.

Deux familles syriennes qui séjournent à Genève peuvent être expulsées, l'une vers l'Allemagne, l'autre vers la Croatie, en vertu des accords Dublin, qui prévoient le renvoi d'une personne dans le premier pays où elle est entrée en Europe. Ce vendredi, le collectif Solidarité Tattes invitait la presse à les rencontrer et demandait d'éviter leur renvoi, jugé «absurde et dangereux», avec l'appui de Carole-Anne Kast, présidente du Parti socialiste genevois, et Lisa Mazzone, conseillère nationale Verte, qui parrainent ces familles.