On ne vous croira pas, si vous nous dites que vous n’éprouvez pas de sentiment particulier. Quel est-il?
Il s’agit en effet d’une occasion très spéciale. Genève m’est très familier, l’équipe, les joueurs, le staff, toute l’organisation. Mais c’est là que ça s’arrête. À la fin de cette série, une des deux équipes sera encore debout, l’autre pas. La plus grande motivation de Genève, tout comme celle de Lugano ou la mienne, consistera à être l’équipe debout. J’espère et je crois que ce sera Lugano. Mais je sais qu’en face, tout un staff et 25 joueurs feront tout leur possible pour nous battre. Ce sera un moment spécial, des deux côtés.