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Le célèbre anarchiste Bakounine (au centre) a vécu plusieurs fois en Suisse et à Genève
DR
En 1902, la Fête du Travail est un rendez-vous fort animé. Nous l’avons montré dans une récente chronique «Il y a 120 ans dans La Tribune». Lire nos archives en ligne donne un reflet précis des aspirations politiques des héritiers de Michel Bakounine, vingt-six ans après la mort du théoricien russe de l’anarchisme: «Le temps déplorable de hier après-midi n’a nui en rien à l’entrain des ouvriers prenant part à Carouge à la fête du 1er mai. À l’entrée du préau, on lisait: «Plus d’armées, plus d’esclavage, assez de sang, à bas les patries, vive l’humanité». Dans les jardins, deux étalages de brochures: côté socialiste, côté anarchiste.»