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«C'est en attaquant, comme Federer, que l'on peut briser la réalité actuelle»

Patrick Mouratoglou distingue le rôle d'entraîneur de celui de coach. Avec Serena Williams, le Français cumule les deux casquettes.

Patrick Mouratoglou, une question façon «Les Inconnus»: c'est quoi la différence entre un bon et un mauvais entraîneur?

Et le coach, alors, c'est l'aspect plus mental?

Vous, vous êtes à la fois entraîneur et coach de Serena Williams: c'est mieux que d'avoir un entraîneur et un ancien grand joueur en qualité de coach, comme c'est la mode actuellement dans le tennis masculin?

Au-delà de la mode, comment s'établit une relation entre un technicien et son joueur?

Comment cela s'est-il passé avec Serena Williams?

Au tennis, ce n'est pas comme au foot, c'est le sportif qui paie son entraîneur: cela peut-il biaiser les rapports?

Avec Serena, par exemple?

Quel est votre regard sur le tennis actuel, voire celui de demain?

Cela veut-il dire que le service-volée est définitivement mort?

Cette réalité semble cruelle pour Roger Federer, qui est de retour, et les attaquants…

Et voir s'il pourra gagner encore un Grand Chelem?

«Les Suisses nous rendent jaloux!»

Comment expliquez-vous cette insolente santé du tennis helvétique?

Voire d'une Belinda Bencic, celle qui va affronter mardi votre protégée, Serena Williams?