
Gianni Infantino défend bec et ongles sa Coupe du monde au Qatar, sans doute plus par intérêt que par conviction.
AFP
C’est un match auquel on n’a pas envie d’assister mais qu’on nous force à regarder. Deux visions de ce Mondial au Qatar qui se toisent, s’accrochent, sinon s’embrassent – «One Love» – tant elles ne peuvent vivre l’une sans l’autre.
Pour ou contre le Mondial? – Au Qatar, c’est le match des postures
La Coupe du monde au Qatar voit deux camps s’affronter. Et aucun d’entre eux n’a peur du ridicule.