Contagion sociale Ados et réseaux sociaux: un enfer pavé de bonnes intentions
Durant la pandémie, le mal-être des jeunes a fortement augmenté. La faute en partie à TikTok, Instagram et consorts, qui contribuent à l’apparition des troubles chez les ados prédisposés.

Durant le confinement, le temps passé par les ados sur les réseaux sociaux a sensiblement augmenté. Ce qui a favorisé l’apparition de troubles chez certains jeunes prédisposés.
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Depuis deux ans, Valeria*, Lausannoise de 18 ans, lutte contre un mal sournois. Sportive, la jeune fille s’entraînait six heures par semaine lorsque le Covid est arrivé. «Avec le confinement, j’ai pris un peu de poids et pour perdre 2 ou 3 kilos je me suis mise à suivre à la maison des entraînements sur TikTok.»