À Genève, les indépendantistes déplorent la sentence
Exilées au bout du Léman, deux politiciennes catalanes pourraient faire l'objet d'un nouveau mandat d'arrêt.

Image d'illustration.
Georges Cabrera
Comme le reste du monde, Marta Rovira et Ana Gabriel ont découvert la sentence de la Cour suprême espagnole lundi matin. Ces deux politiciennes catalanes, exilées à Genève depuis un an et demi, pourraient faire l'objet d'un nouveau mandat d'arrêt dans les mois qui viennent, au même titre que cinq autres politiciens réfugiés en Belgique et en Écosse.